Sa premiere explication avait ete celle du pseudo
Mais la presence du producteur martien Dick Randall au generique ouvrait les pistes nos plus folles. Et si Ken Dixon existait vraiment? L’affaire meritait une rapide enquete a la Hercule Poirot. Et reellement vite une seconde ?uvre signee Ken Dixon etait denichee en 1987: Slave Girls from beyond Infinity. Pouvait-il s’agir du aussi Dixon? Cette variation science-fictionnelle tres devetue sur le theme de Zaroff, fort sympathique et terriblement Z, ne semblait gui?re contredire la version gentiment erotique de votre Robinson Crusoe de 1975.
Cote production votre chose est tout aussi nebuleuse. Selon le materiel publicitaire consulte les noms seront a geometrie variable. Spectacular Trading Company (la societe Hong-kongaise de Dick Randall) reste le maillon stable. Lawrence Woolner rame pour la Dimension Pictures. Reste Sheldon Silverstein et sa Light & Shadow Productions. Si l’on sait que le bonhomme a vecu longtemps a Rome et que le job etait de denicher des films non termines Afin de nos transformer en services vendables, on a bien compris. Bref la nationalite d’Afrika Erotika demeure assez floue. D’autant plus que le nom de Remo Angioli apparait en haut d’une locandina italienne. Lees verder